Abstract
L’ouvrage pionnier Friend and Foe, publié en 1976, est le résultat de plusieurs années de recherches originales, révolutionnaires pour l’époque. Dans le présent article, l’auteur réexamine ses principales conclusions à la lumière des travaux ultérieurs, conduits dans ce domaine par lui et par d’autres historiens. L’argument principal mis en avant dans l’ouvrage semble être demeuré défendable, y compris la thèse selon laquelle l’expérience de contact était, en grande partie, une expérience de dépendance mutuelle, plutôt qu’une situation de ce que l’on a ensuite appelé "middle ground." Cet article conclut sur une brève évaluation des thèses de l’ouvrage dans le cadre de l’analyse du paratexte fournie par Genette.
The text of this article is only available as a PDF.
© 2011 French Colonial Historical Society
2011
You do not currently have access to this content.